J’ai fouillé, comparé, testé (oui, j’ai sacrifié quelques potatoes pour la cause), et je te livre ici tout ce qu’il faut savoir pour choisir sans te faire avoir. D’ailleurs, si tu veux déjà un bon point de départ pour comparer, jette un œil à ce classement : https://meilleurs5.fr. C’est clair, concis, et surtout, y’a pas de blabla marketing inutile.

Pourquoi on parle autant des friteuses sans huile aujourd’hui ?

Alors déjà, parce qu’en 2025, tout le monde ou presque fait gaffe à ce qu’il mange. Même ceux qui “s’en foutent” un peu ont une appli de suivi nutrition ou une balance connectée planquée quelque part. Et avec les prix de l’huile qui ont flambé ces deux dernières années (souviens-toi de 2022, l’huile de tournesol devenait limite un produit de luxe…), une machine qui te promet des frites dorées avec une cuillère d’huile, ça attire l’œil.

Mais attention, toutes ne se valent pas. Certaines te sortent des patates molles et fades. D’autres grillent tout ce que tu mets dedans. Bref, choisir une friteuse sans huile, c’est pas juste une question de prix ou de look. C’est une vraie stratégie.

Les critères qui comptent vraiment (et ceux dont on se fout un peu)

Capacité

Franchement, c’est LE truc que t’oublies souvent au moment d’acheter. Une friteuse 2L, ça peut sembler suffisant… jusqu’à ce que tu cuisines pour 4 et que tu doives faire trois tournées. Perso, je conseille au moins 4L si t’as une famille ou que t’aimes recevoir. À moins que tu vives seul(e) ou que tu sois minimaliste à fond, dans ce cas une mini suffit.

Puissance (et température réglable)

Entre 1400 et 2000 watts, c’est la norme. Moins que ça, t’attends des plombes pour chauffer. Plus ? T’es tranquille, mais ça bouffe un peu plus d’électricité. Et surtout, vérifie qu’on peut régler la température, c’est ce qui te permet de pas tout cramer ou de cuire des trucs différents (du poisson, des légumes, même des cookies, oui oui).

Facilité de nettoyage

Je te jure, y’a rien de pire qu’une cuve non amovible pleine de miettes cramées. Prends un modèle avec bac compatible lave-vaisselle, sinon tu vas vite le ranger au fond d’un placard. Surtout si t’es du genre à procrastiner la vaisselle (coucou moi).

Qualité de cuisson

Test perso : j’ai mis les mêmes frites surgelées dans deux modèles, un à 89€ et un à 199€. Résultat ? L’entrée de gamme m’a donné des trucs secs dehors, mais encore mous dedans. Alors que le second (marque Ninja, pour pas la nommer) sortait des frites bien crousti-moelleuses, comme au snack. La technologie de diffusion de chaleur, ça change tout.

Les gadgets inutiles

Écran LED multicolore, 25 programmes automatiques, appli smartphone… honnêtement, qui utilise ça vraiment ? À part le préchauffage auto et l’arrêt automatique, le reste, c’est surtout là pour gonfler le prix. Ne te laisse pas avoir.

Les modèles à éviter (et pourquoi)

Y’a toujours des marques un peu obscures sur Amazon avec des noms qui ressemblent à des erreurs de clavier. Genre “Zyykko 12-in-1 XXL Pro++”. Méfie-toi. Souvent, c’est du rebranding chinois avec des composants fragiles. Certains modèles affichent 1800W mais sont sous-performants en vrai, la coque chauffe à mort, et après deux mois, c’est la panne.

Autre piège : les fausses promos “avant 349€, maintenant 99€”… Personne n’a jamais payé ce truc 349€, c’est juste pour t’attraper.

Les meilleures marques (selon moi)

• Philips – La gamme Airfryer reste une valeur sûre. Un peu chère mais robuste, fiable, bonne cuisson. Leur modèle XXL est top pour les familles.
• Ninja – J’étais sceptique, mais leurs friteuses sont juste excellentes. Ultra rapides, super intuitives. Pas données, mais tu sens la différence.
• Cosori – Un bon rapport qualité/prix. Moins connue, mais efficace et design plutôt sympa. Leur 5,5L tourne souvent autour des 120€.

Après, faut faire selon ton budget et tes besoins. Pas besoin de lâcher 250€ si tu veux juste cuire 300g de frites tous les 15 jours.

Alors, faut craquer ou pas ?

Clairement, si tu veux te faire plaisir sans culpabiliser, la friteuse sans huile vaut le coup. Mais seulement si tu choisis un modèle qui tient la route. Ça peut aussi servir à bien plus que des frites : poulet, légumes rôtis, nuggets maison, et même des desserts (le brownie en airfryer, tu connais ?).

Mais attention aux modèles cheap, aux fausses bonnes affaires et aux gadgets inutiles. Ce qui compte, c’est la cuisson, la capacité, et la facilité d’usage. Le reste ? Du bonus… ou de la poudre aux yeux.

Et toi, t’as déjà testé ? Tu vis friteuse ou four traditionnel ?

En tout cas, choisis malin, compare les modèles et surtout : écoute ton estomac, il ne ment jamais.

Si tu veux éviter de claquer ton budget pour des boules creuses et des guirlandes qui clignotent façon boîte de nuit, prends deux minutes. Il existe des endroits où on peut trouver de vraies jolies choses, bien faites, pas trop chères, parfois même artisanales. Perso, j’ai eu un gros coup de cœur l’an dernier pour un petit marché en ligne : https://noel-marche.fr. C’est simple, j’y ai trouvé une guirlande lumineuse en bois découpé, fabriquée en Alsace, qui a tenu tout l’hiver… et qui sentait encore un peu la sciure. Rien à voir avec du made in n’importe où.

Fais gaffe au “trop beau pour être vrai”

On te vend des packs à 19,99€ avec 60 boules, une étoile, des fausses pommes de pin et une mini crèche en bonus ? Méfiance. Souvent, c’est fabriqué à la chaîne, mal peint, et ça part à la poubelle avant le 25. Même les bougies peuvent être cheloues (tu veux pas que ça sente le plastique fondu dans ton salon, crois-moi). Mieux vaut acheter moins, mais mieux.

Regarde la matière, pas que le look

Le plastique brillant, ça peut paraître sympa sur photo, mais en vrai, ça fait vite toc. Le bois, le tissu, le verre soufflé… ça a un charme fou. Et ça dure. Tu veux un petit secret ? Les décos en feutrine cousues main, genre celles qu’on accroche sur une branche de sapin, c’est hyper tendance. Et franchement, ça change de la boule rouge qui se voit partout.

Évite les coffrets “tout en un” (ou alors choisis bien)

Ces fameux kits avec tout assorti : guirlandes, boules, étoiles… oui, c’est tentant. Mais au final, ton sapin ressemble à celui du supermarché. Si t’aimes le style “catalogue”, pourquoi pas. Mais si tu veux un peu de personnalité, mixe les styles. Récupère un peu chez mamie, ajoute quelques pièces modernes, et glisse 2-3 décos originales dénichées sur des marchés ou des sites spécialisés. Et là, magie.

Pense durable : c’est plus joli… et plus malin

On parle beaucoup d’écoresponsabilité, mais pour Noël aussi, ça compte. Les décos réutilisables, solides, parfois faites main ou localement, c’est pas juste éthique. C’est souvent bien plus beau. Un bon exemple : les suspensions en céramique ou les petits ornements brodés à la main. Oui, c’est un peu plus cher qu’un lot chez Gifi. Mais tu les gardes des années. Et t’es fier de les ressortir chaque hiver.

Pose-toi cette question simple : est-ce que ça me fait plaisir ?

À la fin, c’est ça qui compte. Est-ce que cette déco te parle ? Est-ce qu’elle évoque un souvenir, un style, une ambiance que t’aimes ? Ou est-ce que tu l’achètes juste parce qu’elle est à -40% ? Noël, c’est un moment où on a le droit d’être un peu kitsch, un peu sentimental. Mais pas pigeons pour autant.

Conclusion : choisis avec le cœur, mais pas les yeux fermés

Tu veux pas te retrouver à jeter tes guirlandes le 26 décembre ou à cacher cette étoile clignotante qu’on t’a vendue comme “ambiance nordique”. Prends ton temps, regarde les matières, fuis le trop bon marché, et fais-toi plaisir intelligemment.

Franchement, je me suis posé la question en tombant sur un pack roll-on + gua sha en jade dans une boutique à Montmartre. Super joli, effet pierre fraîche au toucher… mais aussi 45 euros. Alors j’ai creusé, et en parallèle je suis tombée sur cet article bien fichu sur www.odieusement-belles.com qui posait aussi la question. Bon signe : je ne suis pas la seule à douter. Et peut-être que toi aussi tu cherches à savoir si c’est du gadget ou du sérieux ?

Roll-on visage : du frais, du massage, mais pas des miracles

Le roll-on, tu sais, c’est ce petit rouleau en pierre (souvent du jade ou du quartz rose) qu’on passe sur le visage. La promesse ? Teint éclatant, pores resserrés, cernes envolées. En vrai, il y a du bon… mais faut pas rêver non plus.

Ce que j’ai vraiment aimé ? L’effet froid. Directement sorti du frigo le matin, c’est hyper agréable. Genre mini spa à la maison. Tu passes ça sur les joues et le contour des yeux, et hop, ça décongestionne un peu. Parfait après une nuit trop courte ou un réveil en mode panda.

Mais est-ce que ça change ta peau à long terme ? Hmm… pas vraiment. Ça stimule un peu la circulation, ça aide à faire pénétrer le sérum, mais faut pas s’attendre à des résultats visibles en 3 jours. C’est plus un petit plus qu’un vrai soin transformant.

Gua sha : efficace si tu t’y tiens

Alors là, surprise. Le gua sha, c’est pas juste un outil stylé en forme de galet. C’est une vraie technique issue de la médecine traditionnelle chinoise. Et si tu l’utilises bien, avec la bonne pression et les bons gestes, ça peut vraiment faire la différence.

Ce que j’ai remarqué après 10 jours (pas tous les jours non plus hein, faut être honnête), c’est que ma mâchoire était moins tendue. Et je me suis même demandé si mes pommettes n’étaient pas un peu plus dessinées. Coïncidence ? Peut-être. Mais je trouve que ça donne une sensation de « défatigue » au visage, tu vois ?

Attention : il faut un bon sérum ou huile avant, sinon ça tire. Et il faut apprendre les bons gestes. J’ai bêtement frotté n’importe comment la première fois… résultat : rougeurs et peau sensible. Donc oui, c’est top, mais pas à l’arrache.

Les ventouses visage : surprenant, mais à manier avec précaution

On les connaît pour la cellulite, mais les ventouses s’attaquent maintenant au visage. Là encore, le but c’est de stimuler la circulation, drainer, lifter. Et là encore, faut y aller mollo.

Je t’avoue que la première fois, j’ai flippé. Ça fait un mini « clac » quand ça adhère à la peau, et tu te demandes si tu vas pas ressortir avec une succion de pieuvre en plein milieu du front. Mais bien utilisé, c’est étonnamment agréable. Comme un mini palper-rouler. Le soir, après le nettoyage, ça détend vraiment les muscles du visage. Et apparemment, ça active la production de collagène.

Mais (et c’est un gros mais) : si tu t’y prends mal, tu peux te faire des marques. Littéralement. Donc on évite les zones sensibles, on reste sur les joues, le front, le menton. Et on n’appuie pas comme une brute.

Alors, gadgets ou vrais alliés ?

Perso, je dirais : entre les deux. C’est pas des gadgets au sens « inutile ». Mais faut pas non plus les sur-vendre. Ce sont des compléments à ta routine, pas des solutions miracles. Leur vrai pouvoir, c’est de te reconnecter à ton visage, à tes sensations. Et rien que ça, c’est déjà pas mal.

Si tu cherches un effet relaxant, un petit rituel beauté qui fait du bien au moral, c’est oui. Si tu veux des résultats visibles à long terme sans rien faire d’autre… désolée, mais non. Rien ne remplace une bonne routine soin, une bonne alimentation, et un peu de sommeil (oui je sais, plus facile à dire qu’à faire).

En résumé, pour qui c’est utile ?

• Roll-on : pour celles et ceux qui aiment les textures fraîches et les petits gestes douceur du matin.
• Gua sha : pour les motivé·es qui veulent améliorer leur circulation et tonifier le visage naturellement.
• Ventouses : pour les curieux/ses qui aiment expérimenter, mais toujours en douceur.

Et toi ? T’as déjà testé l’un de ces outils ? T’en penses quoi ? Gadget de salle de bain ou secret de beauté à adopter ? Dis-moi tout, j’adore avoir des retours “vraies personnes”

Si t’es en plein dilemme, t’es pas seul. Perso, j’ai testé les deux. Et spoiler : y’a pas de réponse toute faite. Tout dépend de ce que tu cherches (et de ce que tu supportes). Allez, on passe tout ça au crible.

Ventilateur puissant : simple, pas cher, mais ça fait surtout bouger de l’air

On commence avec le classique : le bon gros ventilo de compèt à poser dans le salon. Ceux qui brassent de l’air à 3 vitesses, oscillation latérale et bruit de moteur inclus.

Les avantages ?

• Clairement plus accessible côté prix. Un bon modèle comme le Rowenta Turbo Silence ou l’AM07 de Dyson (si tu veux du stylé) tourne entre 50 et 300€.
• Aucune installation. Tu le branches et basta. Pas de gaine d’évacuation, pas besoin de vider un bac à eau.
• Il consomme trois fois rien. En général entre 30 et 70 watts. Tu peux le laisser tourner toute la journée sans voir rouge sur ta facture EDF.

Mais…

Faut être honnête : ça ne rafraîchit pas l’air. Ça donne une sensation de fraîcheur, oui, mais uniquement parce que l’air circule sur ta peau et que tu transpires. Et encore, quand il fait 38°C comme à Toulouse en août, le ventilo finit juste par te souffler de l’air chaud à la figure. C’est pas l’idéal pour dormir.

En clair ? Le ventilateur, c’est top si tu veux du soulagement rapide sans prise de tête. Mais il ne fait pas baisser la température réelle.

Climatiseur mobile : pour les vraies canicules (et les gens motivés)

Là, on change de niveau. Le climatiseur mobile, c’est du sérieux. C’est la solution pour refroidir vraiment une pièce, pas juste brasser de l’air chaud.

Concrètement, comment ça marche ? Il pompe la chaleur de la pièce et l’évacue dehors grâce à un tuyau. En échange, il souffle de l’air frais. Et là, on parle d’une vraie baisse de température : genre tu peux passer de 29°C à 23°C en une heure, si ta pièce est bien isolée.

Les bons points :

• Tu retrouves un vrai confort thermique. C’est pas juste supportable, c’est agréable.
• Parfait pour les chambres ou les bureaux où tu bosses. Perso, j’en ai mis un dans ma chambre à Lyon et c’est le jour et la nuit.
• Certains modèles sont réversibles (ils chauffent aussi l’hiver). Pratique à l’année.

Mais attention…

• Ça coûte plus cher. Pour un modèle correct (type De’Longhi ou Olimpia Splendid), compte minimum 300 à 600€.
• Faut gérer l’évacuation de l’air chaud. Et si t’as pas de fenêtre adaptée, ça peut vite être galère (ou moche avec une plaque en plexi bricolée).
• Ça fait du bruit. Même les modèles silencieux tournent autour de 50-60 dB, soit un frigo bruyant. La nuit, ça peut être pénible.
• Ça consomme plus. Environ 800 à 1000 watts. Donc si tu veux le faire tourner H24, prévois le budget électricité.

Bref, c’est super efficace, mais c’est pas plug-and-play. Si tu veux juste survivre à quelques jours de chaleur, c’est peut-être overkill. Mais si t’habites dans une zone chaude ou sous les toits… franchement, ça change la vie.

Alors, on prend quoi au final ?

Bonne question. Et la réponse dépend de toi :

• Tu veux un truc simple, pas cher, efficace dans l’instant ? → Prends un ventilateur puissant. Idéal en combo avec des volets fermés et un linge humide sur les jambes.
• Tu en peux plus des nuits moites, tu bosses chez toi, ou t’as une pièce qui surchauffe ? → Le climatiseur mobile est clairement un bon investissement. Mais choisis un modèle adapté à la taille de ta pièce (BTU oblige) et pense à l’évacuation.

Et entre nous… rien ne t’empêche d’avoir les deux. Un ventilo pour les journées moyennes, et la clim pour les pics de chaleur. C’est ce que je fais, et franchement, c’est le meilleur des deux mondes.

Le mot de la fin

L’été s’annonce chaud, peut-être même très chaud (merci les canicules à répétition). Alors autant t’équiper intelligemment. Ventilo ou clim, le plus important, c’est de choisir en fonction de ton usage, pas des pubs.

Et toi, t’as déjà testé les deux ? Tu penches pour quoi cette année ?